Alain Kelyor, 25 ans de gestion de la ville : pas de bilan et un passif
La campagne pour les municipales est lancée et Kelyor, candidat à une cinquième élection, passe son temps à commenter notre projet pour Emerainville. Projet qu’il ne connait pas mais, comme à son habitude, il fait des commentaires sur les supposées compétences des uns et des autres, sur les dépenses inconsidérées que nous allons faire…
Il fait ce qu’il sait si bien faire : critiquer. Critiquer jusqu’à la diffamation parfois, comme son bras armé, l’ULEM qui après avoir été condamnée a disparu des radars.
En revanche, pour les propositions nous avons déjà un avant-goût de son projet : « Notre programme 2020-2026 vise avant tout à ce qu’Emerainville reste Emerainville… » !
Le programme de Kelyor est à l’image de son bilan : le vide, ne pas bouger, rester une ville du 20e siècle.
Emerairainville est une ville triste, sans commerce, sans vie, sans lieu de rencontre.. Une ville qui subit les pollutions sonores, atmosphériques, une ville cernée maintenant par des montagnes de déchets issus de chantiers. On nous parle de ville festive et d’associations actives. Mais de qui se moque-t-on ? Les festivités ne sont que des attractions commerciales achetées sur catalogue, les commerces se meurent faute d’animation et de soutien de la part de la commune, les associations doivent montrer « patte blanche » pour avoir un minimum de tranquillité, il n’y a aucun lieu de rencontre et d’échange à Emerainville. Le maire va jusqu’à modifier les règlements du vide grenier pour que personne ne parle à personne.
C’est ça le bilan du maire sortant qui n’a rien fait en 25 ans. 25 ans, un quart de siècle!
Un bilan proche du néant et un passif.
Ce passif, cet échec c’est sa passion pour le tout sécuritaire. Elu en 1995 pour « régler le problème du Bois d’Emery » il n’a cessé de dépenser des fortunes avec sa politique du tout sécuritaire : Emerainville une des premières villes française à avoir une police municipale, une des premières à armer sa police municipale, une des premières à l’équiper de « Taser » avec à chaque fois la contestation de la Préfecture. Sans compter le nombre de caméras de surveillance, avec parfois des questions sur les endroits surveillés. Tout ça pour quel résultat ? Une fortune dépensée, plusieurs millions d’euros, et toujours ce sentiment d’insécurité et ces incessantes interventions de la police municipale.
Ce passif c’est ce pognon de dingue qui a été dépensé pour un résultat proche du néant.