Quand on n’a rien d’important à dire et qu’on le dit quand même
Dans la dernière tribune « Le lien emerainvillois 120 » de janvier, distribué mi-mars (!), le conseiller d’opposition Monsieur Bitbol, nous précise que « lorsque l’on n’a rien d’important à dire, il vaut mieux s’abstenir ». Que ne s’applique-t-il pas plus souvent cette sage décision ?
Dans un message, soufflé par des voix qui auront traversées la rue, il prend la défense du maire dans un article qui dénonce certainement une de nos parutions sur ce site. Et il le fait en parlant de « mensonges et de calomnies colportés par certains élus de l’opposition ».
Il doit être plus précis dans ces accusations car ce qu’il écrit est grave : « mensonges et calomnies ». Il doit dire quel est le « certain site internet » et quels sont les élus qui colportent des mensonges et dont on ne peut justifier les calomnies. C’est trop facile de semer le doute et d’accuser sans désigner nommément mais en insinuant avec un petit commentaire du genre « suivez mon regard… ».
Si c’est bien de notre article dont il est question (Kelyor veut un cinquième mandat), il est simplement écrit que le maire et son adjoint aux finances aimaient tellement la ville qu’ils préféraient le Loiret et Chelles comme résidence principale. En précisant que l’adjoint aux finances, lui, n’était même pas domicilié sur la commune.
Nous n’avons jamais parler d’impôts locaux ni prétendu quoi que ce soit d’autre. Persister dans cette voie serait un mensonge.