Émerainville : 30 ans de promesses, 30 ans d’immobilisme
Voici le super restaurant » La GASCOGNE » propriété de la mairie.
La période de prés élection municipale approche… et avec elle, la saison des promesses de toutes sortes.
C’est aussi l’heure des bilans pour les élus majoritaires, comme à Émerainville. Et, fidèle à leur habitude, les autosatisfactions vont pleuvoir.
On atteindra sans doute des sommets dans l’autocongratulation — au point de défier le bon sens.

Ne chercher pas BOXI à Emerainville, il a déménagé après quelques mois à Malnoue.
On entendra peut-être encore que l’équipe municipale ne peut rien faire pour aider les commerces, comme l’a dit en conseil municipal Monsieur le Maire :
« Vous ne voulez pas que je me transforme en client pour faire fonctionner les commerces, non ? »
Une déclaration pour le moins choquante, surtout venant d’un maire qui ne vit même plus dans la commune depuis des décennies !

Voila un service de proximité !!!
L’équipe majoritaire semble à court d’idées. Pour elle, tout aurait déjà été tenté, aucun levier ne serait disponible, aucune action possible.
Mais c’est faux. Lorsqu’on s’intéresse à tout ce qui fait la dynamique d’une ville, on découvre qu’il existe bien des solutions. Encore faut-il en avoir la volonté.
Après 30 années de gestion par Alain Kelyor, le constat est amer : Émerainville s’essouffle.
Le quartier de Malnoue en est le symbole — un quartier autrefois vivant, aujourd’hui dégradé, oublié, abandonné.
Les discours peuvent tenter de masquer la réalité, mais les images, elles, ne mentent pas.
👉 Les photos parlent d’elles-mêmes.


Il est vrai qu’au regard de ces quelques photos le dynamisme n’y est pas ou plus depuis de nombreuses années. Le bourg survi encore avec ça mairie qui brille de toutes ces lumières le seul bâtiment le mieux éclairé de toute la ville, un contraste ou des vieux lampadaires à deux lampes, survivent avec une ampoule.