l’ heure des bilans

Les bilans sont des repères qui sont rythmés par le passage du temps.
Ce qui semble positif à un moment donné peut devenir très négatif à mesure que le temps s’écoule.
Je vous épargne la lecture des tracts jaunes, qui, dans notre ville, étaient d’une ignominie insupportable, remplie d’insultes et de mises en cause de personnes.
Ces écrits politiques étaient omniprésents, et en période électorale, c’était Germaine qui en était le principal instigateur. Lorsque ces responsables étaient poursuivis en justice,
leur défense était toujours la même : « Ce n’est pas moi qui ai écrit cela, c’est un collectif. » Un argument qui compliquait les poursuites.
Certains membres actuels de la majorité municipale ont été les auteurs de ces ignominies.
Ils avaient promis, dès leur premier mandat en 1995, de résoudre la problématique du quartier du Clos d’Emery.
À l’époque, les responsables politiques de cette situation avaient quitté la commune sans défendre leurs mandats, permettant ainsi à leurs successeurs de réécrire
l’histoire du quartier à leur avantage, bien sûr.
Le bilan après 30 ans de pouvoir, après avoir acheté des dizaines de logements pour assainir la situation et embauché une équipe de policiers municipaux pour un salaire annuel
de 900 000 €, c’est simple : ce n’est que « moins pire ». La police n’entre même plus dans le quartier sans risquer de subir des jets de pierres sur leurs véhicules.
La vente de produits illicites y est devenue quotidienne. C’est un réel échec, qui coûte très cher à l’ensemble des Emerainvillois. Cette situation contribue à la dépréciation de notre ville.
Après 30 ans de pouvoir, nous sommes passés de l’arrogance à l’autosatisfaction, sans résultats tangibles.
À cela s’ajoute le caractère brutal, pour le moins, du Maire. Un homme qui, selon ses dires, considère que tous ses partenaires sont des incapables.
La liste de ses échecs est longue et les conséquences sont multiples.
Mais tout n’est pas perdu.
Si nous parvenons à rassembler les habitants d’Émerainville autour de notre programme, nous pourrons inverser la tendance.
Ensemble, nous pourrons créer une ville paisible, autonome, et surtout, une ville qui pense et agit pour ses habitants.
La semaine prochaine nous passerons à l’année 2026, bonne année à toutes et tous nous vous souhaitons un excellent jour de l’an


Que voilà une rédaction simple et claire. Vous êtes sur la bonne pente, continuez ainsi !
Il est désolant de voir nos LCR disparaitre (c’était la semaine passée), coupant le lien des communautés locales que le Maire ne voit pas d’un bon œil, lui permettant par son accord de contrôler les réunions locales, qu’elles soient de copropriétés, associatives, ou simplement de résidents ! Il est certains qu’il y a des problèmes de responsabilité, et donc un cahier des charges à souscrire pour leur utilisation, cela peut se résoudre simplement par un échange loyal entre les parties. sans être obligé de passer pas un carcan administratif.
Ces LCR étaient à destination des copropriétés, la législation les a transféré aux municipalités pour des questions d’entretien et d’exploitation. Il est vrai que leur usage n’était pas défini dans le Cahier des Charges de chaque copropriété, leur en limitant la jouissance. Un flou savamment exploité par les Municipalités, peut-être dans un but d’économie de constructions.