« Rien n’est résolu »
trois mois après les émeutes urbaines, les maires s’impatientent En première ligne quand les quartiers brûlaient, les édiles s’inquiètent du silence de l’exécutif L’impatience le dispute à l’agacement. Le 4 juillet, après les violences urbaines du début de l’été, les maires de plus de 200 communes avaient écouté, à l’Elysée, Emmanuel Macron esquisser des pistes et…